L’État français et ses rouages (ministères de la Justice et de l’Intérieur  tout particulièrement) sont toujours « à l’écoute » des Etats-Unis et d'Israël, mais aussi du lobby sioniste français (CRIF...) qui exigent que Georges ne soit jamais libéré. Ils demandent, de fait, la prison à vie,  la peine de mort en prison  !

A travers l'arrêt de la cour de cassation qui annulait, ce jeudi 4 avril, l'avis de libération formulé par le Tribunal d'Application des Peines en faveur de Georges Ibrahim Abdallah, l’Etat français manifeste aussi, une fois de plus, son mépris à l’encontre de la société libanaise Libanaise qui ne cesse d’exiger sa libération et le retour dans son pays.

Oui la mobilisation pour la libération de Georges doit se poursuivre, se renforcer, se radicaliser avec tous ceux qui reconnaissent le combat exemplaire de ce résistant anti-impérialiste, anti-sioniste, solidaire des peuples en lutte, emprisonné en France depuis 29 ans.